Mon billet du jour
Emotions, impressions, réflexions... tout ce qui me passe par la tête, couché sur le papier. En l'occurrence... sur l'écran.

Allez... une petite pour commencer le mois !
Vendredi 2 février : Donald TRUMP effectue une visite d'état en Israël. Alors qu'il est à Jérusalem, il meurt d'une crise cardiaque.
Les israéliens disent aux Diplomates américains qui l'accompagnent :
- Vous pouvez le rapatrier chez vous pour 50.000 $, ou vous pouvez l'enterrer ici pour 100 $.
Les Diplomates américains en discutent en aparté pendant quelques minutes. Ils répondent aux israéliens qu'ils veulent rapatrier Donald à la maison.
Les israéliens surpris questionnent :
«Pourquoi voulez-vous dépenser 50.000 $ pour le rapatrier alors qu'avec seulement 100 $ il pourrait être enterré ici en Terre Sainte ?"
Les Diplomates américains répondent :
"Jadis, un homme est mort ici, a été enterré ici, et trois jours plus tard, il est ressuscité ! Nous ne pouvons pas prendre un tel risque
Personnellement, j'aurais plutôt mis Hollande à la place de Trump... mais il n'est plus en fonction. Cela ne veut pas dire qu'il a cessé de nuire.
Cinq cents millions de migrants et Moix et Moix et Moix...
Samedi 3 février : Dire que l'argent n'a pas d'odeur est faux. L'argent de gauche est parfumé d'humanisme, tandis que l'argent de droite exhale des relents nauséabonds.
Qu'il est doux et confortable d'être de gauche !
Opportuniste à l'intelligence vindicative mais ciblée, monsieur Yann Moix s'est installé douillettement dans un segment lucratif : les migrants. En utilisant avec malice les circuits détournés, il y a beaucoup d'argent à faire sur le dos de ces "pôvres" migrants. On l'a dit et redit, mais il est bon d'enfoncer le clou : un SDF français de souche (appelé "souchien" par ceux qui ont le droit de tout dire) n'a aucune valeur médiatique ; il ne peut donc être transformé en espèce sonnante et trébuchante. A l'inverse, le migrant est une valeur exponentielle à la bourse des plateaux télés et des dîners germanopratins. Monsieur Moix, dont l'odorat cupide est très développé, a reniflé le fumet d'un copieux festin. Il n'est pas seul à table mais disons qu'il a un solide coup de fourchette.
Qui s'érigera contre la censure frappant deux écrivains majeurs : Céline et Maurras ? Je ne suis pas d'accord avec certains de leurs propos mais je n'oserai jamais censurer le talent. La censure du talent est d'ailleurs un point commun à toutes les dictatures (droite ou gauche).
Voilà dans quel pays nous vivons.
Doit-on parler de pays ou d'époque ? Est-ce vraiment différent ailleurs ? A ces questions s'arrêtent mes réflexions.
Petit bijou récupéré sur internet A la télé j'ai regardé une émission, dans laquelle un représentant du Dalaï-lama affirmait que pour obtenir la paix intérieure nous devions toujours finir ce que nous avions commencé, et qu'à cette condition nous bénéficierions davantage de calme dans nos existences. J'ai regardé autour de moi, j'ai fait le tour de la maison pour trouver les choses que j'avais commencées sans les terminer... Et j'ai fini une bouteille de rosé de Provence, une bouteille de Châteauneuf-du-Pape, une bouteille de côte du Roussivon, une vouteile de bodka, un buteil de rom, le rest dwiski et zune poit de pière belch. Te nimaggine pa com jem sens vachamant mieu mintnan. Psasse el mssage a tou ceux con bsoin de paits intrieur et di leurr ke jeu lézèm. Un tibêtain eureu
Très beau texte, envoyé par un de mes correspondants
Quelques années avant ma naissance, mon père connut une étrangère récemment arrivée dans notre village.
Depuis le début, mon père fut subjugué par cette personne, si bien que nous en arrivâmes à l'inviter à demeurer chez nous.
L'étrangère accepta et depuis lors elle fit partie de la famille.
Moi je grandissais, je n'ai jamais demandé d'où elle venait, tout me paraissait évident.
Mes parents étaient enseignants : ma maman m'apprit ce qu'était le bien et ce qu'était le mal et mon père m'apprit l'obéissance.
Mais l'étrangère, c'était une conteuse, une enjôleuse.
Elle nous maintenait, pendant des heures, fascinés par ses histoires mystérieuses ou rigolotes.
Elle avait la réponse à tout ce qui concernait la politique, l'histoire ou les sciences.
Elle connaissait tout du passé, du présent, elle aurait presque pu parler du futur !
Elle fit même assister ma famille à une partie de football pour la première fois.
Elle me faisait rire et elle me faisait pleurer.
L'étrangère n'arrêtait jamais de parler; ça ne dérangeait pas ma Maman.
Parfois maman se levait, sans prévenir, pendant que nous continuions à boire ses paroles.
Je pense qu'en réalité, elle était à la cuisine pour avoir un peu de tranquillité
( Maintenant, je me demande si elle n'espérait pas avec impatience qu'elle s'en aille ).
Mon père avait ses convictions morales, mais l'étrangère ne semblait pas en être concernée.
Les blasphèmes, les mauvaises paroles, par exemple, personne chez nous, ni voisins, ni amis, ne s'en seraient permis.
Ce n'était pas le cas de l'étrangère qui se permettait tout, offusquant mon père et faisant rougir ma maman.
Mon père nous avait totalement interdit l'alcool. Elle, l'étrangère, nous incitait à en boire souvent.
Elle nous affirmait que les cigarettes étaient fraîches et inoffensives, et que pipes et cigares faisaient distingué.
Elle parlait librement (peut-être trop) du sexe.
Ses commentaires étaient évidents, suggestifs, et souvent dévergondés.
Maintenant je sais que mes relations ont été grandement influencées par cette étrangère pendant mon adolescence.
Nous la critiquions, elle ne faisait aucun cas de la valeur de mes parents, et malgré cela, elle était toujours là !
Des dizaines d’années sont passées depuis notre départ du foyer paternel.
Et depuis lors beaucoup de choses ont changé : nous n'avons plus cette fascination.
Il n'empêche que, si vous pouviez, pénétrer chez mes parents,
vous la retrouveriez quand même dans un coin, attendant que quelqu'un vienne écouter ses parlotes ou lui consacrer son temps libre…
Voulez-vous connaitre son nom ?
Nous, nous l'appelons… Télévision !
Il faudrait que cette belle histoire soit lue par tout le monde.
Attention :
Maintenant, elle a un époux qui s'appelle Ordinateur…… un fils qui s'appelle Portable…
une fille qui s'appelle Tablette...
et un neveu pire que tous : Lui c'est Smartphone ...
et ils se lient tous ensemble pour nous éloigner les uns des autres !!!
Est-il utile de préciser laquelle des deux boîtes est la plus remplie ?

Il est sorti !
Vendredi 16 février : Mon tout dernier roman (le 13ème de la liste, voir page "Mes romans") vient de sortir en France et en Belgique. Depuis ce matin, "Vingt briques pour un pantin" est en vente. Partout, normalement. Pour un auteur, même chevronné, le jour de la sortie de son livre constitue un moment d'intense émotion. Maintenant, le "bébé" est tout seul... lancé dans le grand bain. Qu'il fasse son chemin et qu'il trouve grâce aux yeux de ses (futurs) lecteurs !
A méditer !...

L'ordinateur, c'est comme la prostate. Au bout d'un certain, il manque de débit. Il faut peut-être alors penser à changer la souris....
C'était lui, Weinstein ?...

Actualités récentes
Samedi 3 février : Ramadan, Darmanin... ça chauffe pour ceux qui se croyaient tout permis.
Les langues se délient, ces dames s'encouragent entre-elles. L'union faisant la force, elles n'hésitent plus à briser l'omerta.
Certes, il y avait eu des précédents (DSK, Tron, Maupin... mais après les petites bourrasques, c'est l'ouragan qui souffle.
La main baladeuse est plutôt rigolard dans l'esprit bistro franchouillard... mais le viol est inqualifiable. Et même davantage quand il est commis par un homme dont la carrière s'appuie sur ses facultés intellectuelles.
D'autres têtes vont tomber et, après la "terreur" viendra peut-être la restauration... dans une société plus respectueuse de la femme.
Irremplaçable Raymond Devos !

Comme Le Luron, Coluche et Desproges, Devos fait partie de ces comiques qui ne se sont pas trouvés de successeur.
Un pigeon sur la tête du Maréchal !
Le maréchal Foch, place du trocadéro, une des plus belles statues équestres de Paris.
Mercredi 7 février, Paris s'est réveillé sous la neige. Boudda n'y a pas échappé.
Mon ami, Jean-Pierre Quinson, journaliste à France 3, cavalier, éleveur, propriétaire (de pur-sang) et... golfeur, à ses heures perdues, a trouvé qu'il manquait un portrait (le sien) sur le golf des Légendes, à Los Angeles.
Vendredi 9 février : Il neige de nouveau sur Paris. Pour nous remonter le moral, l'ami Jean-Pierre nous envoie cette photo d'entraînement au petit matin à Santa Anita (Los Angeles). Il fait déjà plus de 20° à l'ombre ! Admirez l'imposante Sierra Nevada, en toile de fond !
Jeux de mots... laids.
Dans un village perché de Provence...
Il est midi. Le curé du village descend à vélo depuis l'église en direction du restaurant Chez Marius.
Ses freins lâchent et, horreur, il fonce droit vers les murs des premières maisons.
Mon Dieu, faites quelque chose, je vais mourir fracassé.
Une dame sort de son mas et répand le contenu de sa boîte de poudre d’Ajax sur le chemin.
Arrivé à cette hauteur, le vélo s'arrête et le curé est sauvé
Oh! miracle! merci Madame, mais comment est-ce possible ?
C'est très simple,! Ajax est la meilleure poudre arrêt curé.
En remerciement, le curé lui dit: " je vous offre un repas Chez Marius."
Merci, Monsieur le Curé, mais mon mari Jean vient de décéder et ce midi, je vais au cimetière sur sa tombe.
Quel grand malheur, je vous accompagne et je prierai avec vous.
Devant la tombe, la dame s'agenouille et fond en larmes.
Alors, le curé sort une fiole de sa poche et en répand quelques gouttes sur la pierre tombale.
Dans un bruit de tonnerre, celle-ci s'ouvre et Jean réapparait, bien vivant !
Un miracle, j'ai retrouvé mon Jean, mais comment est-ce possible ?
C’est très simple, dit le curé, Cif est le meilleur déterre Jean...
Après la "beat generation", la... "bête génération".

Ah, les dîners parisiens !


Une blonde au cerveau lent et au cul bas !

Chapeau l'artiste !

Un grand bravo à Sénastien Lucas, artiste dans toute l'étendue du terme (peintre, compositeur, écrivain), qui, en deux heures, a réalisé un portrait très original de la regrettée France Gall et de son "mentor", Michel Berger.
Cela se passait, le dimanche 25 février, à la brasserie "Au bureau", face à la gare de Deauville, devant un parterre d'admirateurs.
De rage, je tape du poing
